DO021 |
Knowledge Management : l’état de l’art
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OBJECTIFS DE LA FORMATION
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Cette formation rappelle et clarifie les concepts de base du Knowledge
Management.
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Elle examine les caractéristiques et la maturité des outils actuellement
disponibles sur le marché, propose des modes d’organisation nouveaux
et des démarches
pour réussir la mise en œuvre d’un projet de knowledge management.
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PROGRAMME DE LA FORMATION
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| Le processus Knowledge Management |
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Lancer un programme KM
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-Enjeux stratégiques, offensifs et défensifs : |
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-Généraux : capitalisation, collaboration, pérennité, transversalité, management des experts, intégration des jeunes |
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-Métiers : innovation et R et D, relation client, croissance interne et externe, ingénierie, e-santé, gestion des risques |
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-Transformation numérique : le KM rend les processus plus adaptatifs et valorise les collaborateurs |
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-Enjeux opérationnels : résolution de problèmes, transmission des savoir-faire, ingénierie et gestion de projet |
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-Troisième génération du KM : priorité aux usages et intégration dans les processus métiers |
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Quelques repères pour caractériser le KM
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-Information et connaissance |
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-Tacite et explicite |
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-Connaissances et compétences |
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-Connaissances critiques |
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-Transmettre et partager ; deux approches complémentaires |
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-Innover ou refaire : une dualité constante |
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-Transmettre une capacité d’action : vers qui et avec quelles distances (culture métier, processus) ? |
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Typologie de réalisation
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-Base/livre de connaissance |
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-Usages collaboratifs |
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-Portail KM et portail métier |
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-Référentiel métier |
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-Gestion de communautés et RSE |
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-Annuaire/cartographie de compétences |
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L’orientation vers les usages et les initiatives KM associés
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-Améliorer la relation client (connaître son client, valoriser ses produits) |
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-Gérer les risques (techniques et juridiques) |
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-L’innovation et l’efficience de la R et D |
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-Accompagner une fusion/acquisition |
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Les interactions entre le processus KM et les processus métiers
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| Les outils du Knowledge Management |
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Les outils de capture, structuration et de stockage
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-Panorama du marché : |
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-Outils généralistes ECM (OpenText, Documentum, Ever, FileNET, Microsoft, Jalios, libre, …) |
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-Editeurs de niche (Knowings, Ardans, Elium, Jamespot, …) |
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-La stratégie des grands éditeurs (Microsoft, IBM, SAP, Oracle, …) |
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-Comment construire des portails KM avec des outils ECM (GED, CMS, collaboratif, recherche, …) |
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Les outils collaboratifs
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-Panorama des outils et apports pour une démarche KM |
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-Comment paramétrer un outil collaboratif en fonction des enjeux (mieux faire, innover, …) |
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-Le RSE, promesses et limites |
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-Le Web sémantique, promesses et limites |
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-Les perspectives du Web 4.0 sont-elles des apports pour le KM ? |
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Les outils de diffusion et d’exploitation
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-Panorama des moteurs de recherche et de leurs nouvelles possibilités |
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-Apports et limites pour le KM |
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Les outils, leviers de mise en œuvre du KM
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-Il y a-t-il des outils spécifiques au KM ? |
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-Jusqu’où peut-on automatiser la capture des connaissances ? |
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-Comment les outils facilitent l’adhésion des acteurs ? |
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-Les apports d’internet (Crowdsourcing, réseaux sociaux,…) |
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-Les apports potentiels du Big Data et de l’intelligence artificielle, leviers complémentaires de la transformation numérique |
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-Les limites des outils face au KM |
| La gestion des contenus |
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La structuration d’une base de connaissance
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-Connaissance : information, sens et contexte |
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-Comment identifier les connaissances critiques |
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-Associer connaissances académiques, savoir-faire et retour d’expérience |
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-Formaliser le retour d’expérience : les différentes possibilités |
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-Des critères pour construire une base de connaissance : intelligibilité, accessibilité, attractivité, pertinence, plasticité |
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Le cycle de vie de l’information/connaissance
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-Production, faire savoir, savoir-faire, archivage |
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-Architecture des contenus : comment positionner les bases de connaissances en complément des référentiels, environnements collaboratifs,
intranet métier et base d’archive |
| Freins et dynamiques humaines |
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Les caractéristiques d’un Knowledge worker
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-Les trois aspirations qui s’opposent : ambition, régulation, résistance |
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-Les aspirations par type d’acteur : direction générale, management intermédiaire, sachant, expert, DSI |
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-Les trois paramètres de partage : local, communauté métier, institution |
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-Comment mobiliser un collaborateur dans un projet KM : une typologie de situations délicates, un catalogue d’actions |
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-La conversation dirigée, outil du knowledge manager |
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-Quel est l’impact de la culture nationale et la culture d’entreprise dans une démarche KM ? |
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Les freins dynamiques par type d’acteur
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-Sont-ils justifiés ? Les contre-sens |
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-Comment les limiter (freins) ou développer (dynamiques) ? |
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Le rôle du management
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-Pourquoi des styles de management s’opposent au KM ? |
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-Jusqu’où le KM peut devenir un projet fédérateur ? |
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-La stratégie de la tribu |
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L’animation des communautés de pratique (CoP)
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-Pourquoi les communautés de pratique sont un levier majeur du KM |
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-Le cycle de vie d’une communauté |
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-Le rôle du knowledge manager ou d’un community manager |
| Comment gouverner le Knowledge Management dans l’entreprise |
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La fonction KM dans l’organigramme
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-La coordination centrale : nouvelles tendances, animer plus que manager, favoriser l’innovation transverse |
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-Comment se positionner par rapport aux démarches de gouvernance globale (ECM) ou de transformation numérique |
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-Entre centralisation et décentralisation : trouver la bonne organisation |
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Le Knowledge Manager et le Community Manager
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-Description détaillée du poste et ses variantes (expertise métier, animation, coordination des réseaux) |
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-Entre expert métier et documentaliste, comment trouver le bon positionnement |
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-Comment animer la communauté des knowledge manager de l’entreprise |
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-Les clubs et réseaux intra/inter-entreprises |
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La place des métiers traditionnels
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-Les experts, comment les intégrer dans le processus KM ? |
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-Les documentalistes, quelles évolutions ? |
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-Le KM, un sujet pour la DRH? KM et parcours de professionnalisation |
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Le rôle de la DSI
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-Son rôle traditionnel de maîtrise d’œuvre |
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-Peut-elle jouer un rôle de maîtrise d’ouvrage par intérim ? |
| Comment réussir la mise en œuvre |
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Le programme KM
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-Jusqu’où construire une démarche KM alignée sur la stratégie de l’entreprise ? |
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-Les leviers de mise en œuvre d’une démarche KM : humains, organisation, outils |
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-Comment intégrer des solutions KM dans un processus métier reconfiguré (intégration technique, convergence des rôles de pilote de processus et knowledge manager,…) |
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-Comment articuler le processus KM et les processus métiers plus adaptatifs (notion d’usage vs activité) |
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-Les structures de pilotage d’un programme KM |
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-Par quels projets commencer ? |
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Les démarches de déploiement
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-Les caractéristiques d’un projet KM |
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-L’importance des projets pilotes et du prototypage |
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-L’importance du marketing et de la communication des projets et des outils KM |
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-Exemples de démarches suivant les types de projets |
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Le modèle économique du KM
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-Les limites de l’approche par le ROI |
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-Construire un business case (qualitatif, quantitatif) |
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-Les coûts d’un programme KM |
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Les indicateurs de réussite (KPI)
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-Les indicateurs d’usage |
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-L’importance des témoignages |
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PERSONNES CONCERNEES
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PRE REQUIS
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Aucun.
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LE FORMATEUR
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Spécialiste du knowledge management.
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METHODES PEDAGOGIQUES
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DUREE ET TARIF
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QUESTIONNAIRE D'ANALYSE DU BESOIN
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L'apprenant renseigne un questionnaire d’analyse du besoin afin que le formateur prenne connaissance d’une part de son activité,
de son niveau de compétence, de ses préférences d’apprentissage et des objectifs opérationnels spécifiques. Il s’agit aussi de confirmer que l’apprenant dispose des prérequis pour suivre la formation. Ce dernier exprime enfin, en confidentialité, l’existence d’un handicap à prendre en compte par le Référent Handicap au niveau des moyens d'apprentissage ainsi que de l'assistance technique et d'accompagnement nécessaire.
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ACCESSIBILITE DES FORMATIONS AUX PERSONNES HANDICAPEES
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Nos formations sont accessibles aux personnes handicapées.
Afin de mettre en œuvre toutes les mesures d'accompagnement nécessaires à la formation de la personne en situation de handicap permanent ou temporaire, l'apprenant
contacte en amont de la formation le conseiller ProFormalys afin d'être mis en relation avec le Référent Handicap.
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MODALITES D'EVALUATION DE LA FORMATION
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Tests de contrôle des connaissances à l’aide de QCM. L’évaluation permet de mesurer le niveau d'atteinte des objectifs opérationnels par l'apprenant.
La formation est sanctionnée par une attestation individuelle de fin de formation avec une évaluation des acquis mentionnant le niveau d'acquisition de l'apprenant.
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MESURE DE LA SATISFACTION DE L’APPRENANT
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A l’issue de la formation, l’apprenant indique son niveau de satisfaction en termes d’organisation, de conditions d’accueil, de qualités pédagogiques du formateur ainsi que des méthodes, moyens et supports d'apprentissage utilisés. Cette mesure de la satisfaction fait l'objet d'un enregistrement par le groupe ProFormalys en vue de l'analyse et du traitement des appréciations formulées. Cette analyse concerne d’une part la formation proprement dite et d’autre part plus globalement l’activité du centre de formation.
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COMPTE RENDU DU FORMATEUR
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A l’issue de la formation, le formateur rédige un compte rendu indiquant le contexte de la formation, les objectifs spécifiques des participants en lien avec leur activité professionnelle, les méthodes pédagogiques employées, le retour des participants et les compléments éventuels apportés au programme en fonction des demandes de ces derniers.
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